Mari Carmen Hernández trempe son pinceau très profond dans la croûte terrestre.
Elle y trouve les couleurs du soleil, celles des cavernes boueuses, les mélange pour peindre ses visages qui nous fixent droit dans les yeux, ses paysages étendus, ses tomates….
Son œuvre suit aveuglement le vers du poète Antonio Machado,
« El camino se hace al andar » (Le chemin se fait en marchant).
Elle signe Meta, qui veut dire « au-delà… » et aussi « près de… ».
Catherine Thieck, Paris 2018